La reprise

Le premier artiste invité à inaugurer nos lieux en septembre 2014 fut Lodewijk Heylen. Venant de terminer ses études en art urbain à la Cambre, il installa dans la galerie une série de plaques de granit dur percées à l’aide d’un jet abrasif, opération réalisée en cabine de projection industrielle. Avec lui, la puissance des machines utilisées dans la construction et les grands travaux publics se retrouve affectée à une mission qui n’est plus celle d’un enjeu industriel mais bien plutôt celui d’une démonstration symbolique à la temporalité accélérée.  

Lodewijk Heylen nous revient, 10 ans plus tard, pour fêter notre anniversaire en proposant de nouvelles installations toujours liées au détournement de machines d’usines.